Paris, le 30 octobre 2025 – Alors que la rentrée automne-hiver marque un moment clé pour repenser son style et que la mode française s’interroge sur la digitalisation responsable, Lookiero, leader européen du personal shopping en ligne, publie une étude exclusive retraçant l’évolution du métier de styliste et de personal shopper — de ses origines aristocratiques à son rôle actuel dans l’univers digital et durable.
Une figure autrefois élitiste devenue accessible
Cette analyse met en lumière comment cette figure, autrefois réservée aux élites, s’est progressivement démocratisée et transformée, devenant aujourd’hui un acteur essentiel du style personnalisé et conscient.
Un regard historique et contemporain sur un métier en pleine mutation
Né dans les cercles aristocratiques du XIXᵉ siècle, le rôle du conseiller en image s’est réinventé au fil des décennies pour répondre aux attentes d’une société en quête de sens, d’authenticité et de confiance en soi.
Aujourd’hui, grâce à la technologie et à la data, le personal shopper devient un expert connecté, capable d’allier compréhension des tendances, analyse morphologique et accompagnement humain à grande échelle.
Une étude en trois axes
L’étude de Lookiero retrace les grandes étapes de cette transformation, en soulignant :
- L’impact de la digitalisation sur la relation client-styliste ;
- La démocratisation du conseil en image ;
- La nouvelle dimension émotionnelle et durable du style personnel.
Une infographie pour visualiser 150 ans d’évolution du style
Pour accompagner cette publication, Lookiero a conçu une infographie détaillée illustrant les moments clés de l’histoire du styliste et du personal shopper — de ses débuts dans les salons privés jusqu’à son intégration dans les plateformes digitales de mode.

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À propos de Lookiero
Fondé en 2016, Lookiero est le service de personal shopping en ligne numéro un en Europe. Présent dans 10 pays, il propose à chaque cliente une sélection personnalisée de vêtements et d’accessoires, choisie par des stylistes professionnels selon son style, sa morphologie et ses besoins.
Grâce à la combinaison du savoir-faire humain et de la technologie, Lookiero aide des millions de femmes à redécouvrir leur style, en toute confiance et simplicité.
Intéressant de voir comment ce métier a évolué ! J’avoue que l’idée d’avoir quelqu’un qui choisit des vêtements pour moi, ça me parle énormément en ce moment. Depuis que bébé est là, le temps pour moi de faire du shopping… c’est zero. Et puis entre la fatigue et les changements de silhouette, je ne sais plus du tout quoi mettre pour me sentir bien. L’aspect « démocratisation » et « durable » mentionné, ça me plaît bien. Mais je me demande si c’est vraiment accessible pour un budget de jeune parent ? Quelqu’un à déjà essayé Lookiero ?
C’est marrant de voir que ce genre de service existait déjà il y a longtemps, mais pour les nobles ! L’article parle de « confiance en soi » et je trouve que c’est tellement vrai. Depuis que je suis maman, mon corps a changé et je ne me retrouve plus du tout dans mes vêtements. L’idée que la digitalisation puisse aider à ça, pourquoi pas. Par contre, Sophie, je me pose exactement la même question que toi sur le budget. Est-ce que c’est vraiment adapté quand on a déjà plein de dépenses pour bébé ? J’ai l’impression que ces services, même démocratisés, reste un peu un luxe. Et le côté « durable »… est-ce que Lookiero propose vraiment des marques éthiques ou c’est juste une façon de dire qu’on achète moins mais plus cher ?
Ah oui, l’idée de retrouver un peu de « confiance en soi » comme dit Chloé, ça résonne tellement fort après un accouchement ! Perso, je suis un peu lassée de toujours mettre les mêmes jeans et t-shirts larges, mais entre le temps qui manque et la difficulté de me projeter avec une nouvelle silhouette, j’avoue que le shopping est devenu une corvée. L’article insiste sur la « démocratisation du conseil en image », et je me dis que c’est une bonne chose. Mais est-ce que Lookiero prend vraiment en compte la réalité des mamans ? Genre, on peut leur dire qu’on a besoin de vêtements pratiques pour allaiter, ou qui cachent un peu le bidou post-partum sans faire mamy ? Sophie et Chloé parlent du budget, et c’est clair que c’est LA question. Ce service est peut-être « démocratisé » par rapport aux aristocrates d’antan, mais je me demande si c’est pas encore un luxe pour un couple avec un seul salaire ou de jeunes parents qui jonglent déjà avec les dépenses de la crèche et des couches. J’aimerais bien une vraie transparence sur les prix et le type de marques proposées, pour voir si le côté « durable » est juste un argument ou une vraie démarche.
C’est vrai que l’idée d’un personal shopper qui se démocratise, ça donne à réfléchir. Léa, Chloé, vous parlez de la confiance en soi après bébé, et je suis à 100% d’accord. Mais au-delà du corps qui change, il y a aussi toute notre identité qui se modifie quand on devient parent. Avant, j’aimais bien des looks un peu plus pointus, mais maintenant, je me sens un peu perdue entre « pratique pour la crèche » et « m’habiller pour moi ». L’article mentionne la « nouvelle dimension émotionnelle » du style personnel, et ça, ça m’interpelle beaucoup. Est-ce que ce genre de service prend vraiment en compte cette transformation plus profonde ? Ou est-ce que ça reste juste de la morphologie et des tendances ? J’ai un peu peur que ce soit surtout un algorithme qui te propose des choses « sûres » mais pas vraiment « toi ». J’aimerais bien savoir comment ils gèrent ça, si on peut avoir un vrai échange avec le styliste pour expliquer ce qu’on recherche en terme de « nouvelle moi ». C’est un peu ce qui me freine avec les services en ligne, ce manque de contact humain sur des sujets aussi personnels.
Je suis tombée sur cet article et ça m’interpelle parce que le personal shopping, c’est quelque chose qui me tente vraiment depuis la naissance de ma fille. Sophie, Léa, vous parlez du manque de temps et des changements après bébé, et je vous rejoins à 100%. Le temps de fouiller dans les magasins, c’est fini ! L’idée d’un « expert connecté » qui allie « analyse morphologique et accompagnement humain » ça sonne bien sur le papier, mais je suis toujours un peu dubitative. Est-ce que cette « data » dont ils parlent, elle arrive vraiment à capter nos envies profondes ? Parce que bon, mon style a pas mal évolué avec la maternité, c’est pas juste une question de taille ou de couleur, c’est plus une question de comment je me sens, de mes nouvelle priorités. J’ai déjà essayé des box de vêtements avant bébé et j’étais souvent déçue, ça manquait de peps ou de vraie compréhension. Et pour le côté durable, je me demande si c’est pas juste un mot à la mode pour encourager à acheter plus, même si c’est plus ciblé. Est-ce qu’ils mettent en avant des marques qui fabrique vraiment localement ou avec des matériaux écolos, ou c’est juste qu’on achète moins mais plus cher ? J’attends de voir la fameuse infographie pour en savoir plus, mais je reste prudente.
Oh là là, cette histoire de « nouvelle dimension émotionnelle et durable du style personnel », ça résonne tellement en moi ! Manon, tu as mille fois raison quand tu parles de l’identité qui se transforme après un bébé. C’est exactement ça, je ne me reconnais plus dans mon dressing. Avant, j’adorais la mode, c’était mon petit plaisir. Maintenant, entre les purées qui volent et les nuits hachées, je me sens un peu… effacée, oui c’est le mot. L’article mentionne le « savoir-faire humain et la technologie » chez Lookiero, et c’est ça qui m’intrigue le plus. Est-ce que le styliste prend vraiment le temps de comprendre nos peurs, nos envies profondes ? Genre, ne pas tomber dans le look « maman pratique » un peu triste, tout en étant a l’aise pour courir après les petits. J’ai un peu peur que ce soit trop basé sur des algorithmes et que ça manque de personnalité. Et comme Chloé, je me demande si le côté « durable » n’est pas juste un mot à la mode pour vendre plus cher, sans une vraie démarche éco-responsable derrière. C’est ce qui me freine pas mal, j’avoue. J’aimerais lire des retours de mamans qui ont essayé et qui ont été VRAIMENT surprises positivement.
C’est marrant de lire l’historique de ce métier, de l’aristocratie à aujourd’hui. L’article dit que la figure du styliste est devenue « accessible », et ça me fait doucelement sourire. Accessible pour qui, et à quel prix ? Léa et Chloé ont déjà bien soulevé la question du budget, et je suis à 100% avec elles. Quand on parle de « démocratisation du conseil en image », j’aimerais bien qu’on parle aussi du fait que nos priorités changent du tout au tout après l’arrivée de bébé. Moi, j’ai pas besoin d’une garde-robe de princesse, juste de vêtements pratiques, confortables, qui me fassent me sentir un minimum jolie sans casser la tirelire. Et surtout, qui supportent les tâches de purée et les centaines de lavages ! Est-ce que Lookiero propose vraiment des choses qui collent à cette réalité là, ou c’est juste un argument pour vendre ? Je suis curieuse de voir l’infographie, mais j’ai un peu peur que ça reste très « mode » et moins « vie de tous les jours de jeune maman ».
L’article parle de la ‘rentrée automne-hiver’ et c’est vrai que pour moi, c’est un peu le moment où je me rends compte que ma garde-robe post-grossesse est… inexistante, haha. Manon, tu as tellement raison, c’est toute une nouvelle identité qu’on cherche. J’adore l’idée d’une aide personnalisée, surtout avec le manque de temps pour moi. L’histoire du styliste « démocratisé » c’est bien, mais la vraie question pour moi, c’est la pertinence de ce service pour une jeune maman. Est-ce que Lookiero propose vraiment des tenues qui sont à la fois jolies ET practiques pour courir après un enfant, s’asseoir par terre, ou même allaiter discrètement ? J’ai l’impression que souvent, on nous propose soit l’un, soit l’autre. J’aimerais bien voir l’infographie pour comprendre comment ils ont intégré cette réalité là, parce que l’évolution c’est une chose, mais l’adaptation à nos vies de parents, c’en est une autre. Et je rejoins Chloé sur le côté budget, c’est le nerf de la guerre !
C’est super intéressant de voir l’historique du métier de styliste, surtout le passage où l’article mentionne la « démocratisation ». Mais quand je lis qu’aujourd’hui le personal shopper devient un « expert connecté, capable d’allier compréhension des tendances, analyse morphologique et accompagnement humain à grande échelle » grâce à la technologie et la data, je me pose quand même des questions. Est-ce que la data peut vraiment comprendre ce que Manon appelait notre « identité qui se transforme » après bébé ? J’ai l’impression que c’est hyper personnel, bien au-delà des mesures ou des couleurs qu’on aime. J’ai déjà eu des expériences avec des quiz en ligne qui te proposent des choses, et c’était souvent à côté de la plaque. Il manque ce côté « psychologue du style » qui comprend pourquoi je me sens pas bien dans mes vieilles fringues, ou pourquoi j’ai envie de me sentir un peu plus « moi » mais sans trop savoir comment. Je suis curieuse de voir l’infographie pour comprendre comment ils ont visualisé ce passage du « savoir-faire humain » à l’algorithme.
L’article parle de la ‘démocratisation du conseil en image’ et de l’intégration de la ‘technologie et la data’. Moi qui suis en plein retour au travail après bébé, l’idée de gagner du temps en ayant un styliste qui utilise ces outils, c’est super tentant. Fini les heures à essayer de choses en cabine ! Mais du coup, comment Lookiero arrive à vraiment saisir la nuance ? Par exemple, est-ce que les algorithmes peuvent capter le style qui me permet de me sentir pro mais aussi à l’aise pour courir à la crèche après ? Et surtout, est-ce que les marques proposées via cette ‘data’ sont celles qui tienent la route avec les nombreux lavages que nos vêtements subissent ? Parce que le côté ‘durable’, c’est aussi ça pour moi, des vêtements qui durent ! J’espère que l’infographie donne plus de détails sur comment ils concilient tout ça, entre l’efficacité de la tech et les besoins réels de notre quotidien de jeunes parents.